Synthèse Grand débat à Caromb sur la fiscalité et les dépenses publiques

Compte-rendu du Grand débat Oser la France à Caromb Fiscalité et dépense publique :
« Impôts, taxes et dépenses publiques, que proposez-vous ? »

Le constat

Au regard de la problématique fiscale, il ressort des échanges un phénomène de « ras-le-bol fiscal », un refus de consentir à la création d’un nouvel impôt ou encore, à la hausse de ce dernier. Le sentiment d’injustice fiscale semble faire l’unanimité des participants à ce débat.

Réclamations

  • –  Une baisse des impôts et des taxes plus précisément sur la TVA des produits de première nécessité.
  • –  Augmentation des impôts et taxes sur les hauts revenus à travers le rétablissement de l’impôt de solidarité sur la fortune et la création d’une tranche supplémentaire sur l’impôt sur le revenu.
  • –  Un traitement fiscal plus strict des GAFAM.
  • –  Baisse des dépenses publiques à travers une diminution notoire du train de vie del’État qui pourrait se caractériser par la suppression de certains avantages liés à laretraite des hauts fonctionnaires et chefs d’État.
  • –  Rationalisation des budgets des collectivités territoriales et baisse des effectifs, tropde fonctionnaires profiteraient d’un système devenu obsolète
  • –  A contrario une augmentation des budgets dans différents domaines tels que la santé,l’éducation, la recherche, la sécurité et la défense. Dans le domaine social, la mise en place de certains dispositifs seraient consacrés aux personnes en situation de handicap ou en fin de vie.
  • –  Une gestion plus transparente des dépenses publiques

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A-t-on encore le droit de critiquer Jean-Michel Blanquer ?

France», reprochent au ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer de ne pas avoir de réelle ligne directrice pour l’école, malgré des réformes dont certaines vont dans le bon sens. Eux plaident pour un retour à une «école de la transmission».


Bérengère Poletti, députée des Ardennes ; Julien Aubert, député de Vaucluse ; Stéphane Viry, député des Vosges ; Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes ; Thibault Bazin, député de Meurthe-et-Moselle ; Jean-François Parigi, député de Seine-et-Marne ; René-Paul Savary, sénateur de la Marne ; Alain Dufaut, sénateur de Vaucluse ; Anne Lorne, Conseillère régionale de Rhône-Alpes-Auvergne ; Stéphane de Sallier Dupin, conseiller régional de Bretagne ; Alexandre Rassaërt, maire de Gisors et conseiller départemental de l’Eure ; Pierre Laget, adjoint au maire des 11ème & 12ème arrondissements de Marseille chargé des Finances.


Depuis le début du nouveau quinquennat, la droite française s’exempte d’exercer son esprit critique vis-à-vis de l’action de Jean-Michel Blanquer, Ministre de l’Education nationale. Sans doute est-ce parce qu’il nous rappelle trop ce que nous n’avons pas fait, miroir vivant de nos renoncements, mais aussi parce qu’il nous flatte en réfutant l’orthographe inclusive ou la méthode semi-globale, en voulant interdire le téléphone portable au collège, en évoquant la sélection à l’entrée de l’université, en mettant en valeur les fondamentaux de l’instruction – le fameux triptyque lire-écrire-compter, et surtout en donnant le sentiment de prendre le pas sur les «pédagos» de la rue de Grenelle et leur vocabulaire abscons.

 

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