Le capitalisme mondialisé fait s’opposer le libéralisme et la démocratie

Extrait

Il n’est donc pas question de se détourner du libéralisme mais de revenir à son essence pour le réconcilier avec la démocratie. Mon libéralisme est soumis à l’intérêt général et au pouvoir démocratique. A mon sens, la droite sera sociale ou ne sera pas.

En renonçant à l’accord iranien, Donald Trump a mis à mal ce qui était symboliquement perçu comme la victoire de la diplomatie “multilatérale” défendue par les européens.

C’est donc cette approche qui a été affaiblie par cette décision, au profit d’une diplomatie du rapport de force. Au regard de ce contexte, comment l’Europe et la France peuvent-elles s’adapter à ce qui ressemble à une nouvelle donne ?

Le dossier iranien a démontré l’inexistence politique de l’Europe en tant qu’entité sur la scène internationale malgré les nombreux efforts qui ont été déployés en ce sens, tout simplement car nous n’avons pas d’intérêts concordants. La France a une longueur d’avance dans le domaine car cela fait longtemps que nous plaidons pour une diplomatie indépendante. L’impossibilité de construire une diplomatie européenne s’explique par le fait que certains pays continuent à attendre de l’oncle Sam qu’il leur dicte leur politique étrangère.

Nous devons nous demander si notre intérêt en tant que Français, est de continuer à avoir un Iran qui se durcit, si nous avons intérêt à une guerre froide avec la Russie…  C’est ces questions que nous devons nous poser.

Retrovuer l’intégralité de l’article sur :
http://www.atlantico.fr/decryptage/julien-aubert-capitalisme-mondialise-fait-opposer-liberalisme-et-democratie-qui-arrivait-pas-passe-3405521.html#OtU9UVzomKoLVkET.99

Europe, évitons le syndrome du cabri et celui de l’autruche

Le député du Vaucluse et secrétaire général adjoint de LR répond à la tribune de Philippe Juvin, critiquant la ligne eurocritique de son parti. Le 26 mai, Julien Aubert présentera avec son mouvement Oser la France ses propositions sur l’Europe

Vous pouvez retrouver l’article dans son intégralité : https://www.lopinion.fr/edition/politique/julien-aubert-europe-evitons-syndrome-cabri-celui-l-autruche-150452

 

https://www.lopinion.fr/edition/politique/julien-aubert-europe-evitons-syndrome-cabri-celui-l-autruche-150452

 

Réforme des institutions : Monsieur, le président, osez le référendum

EXTRAIT :
Ecrite par Julien Aubert, député de Vaucluse, président d’Oser la France et Alain Dufaut, sénateur de Vaucluse.

Cosignée par Thibault Bazin, député de Meurthe-et-Moselle, vice-président d’Oser la France ; Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes ; Bernard Fournier, sénateur de la Loire ; Bernard Carayon, maire LR de Lavaur et conseiller régional d’Occitanie, vice-président d’Oser la France ; Stéphane de Sallier Dupin, conseiller régional de Bretagne ; Stéphane Sauvageon, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte D’Azur ; Thierry Hory, conseiller régional Grand Est & maire de Marl ; Marie-Hélène Herry, conseillère départementale du Morbihan et maire de Saint-Malo-de-Beignon ;Pierre Laget, adjoint au maire des 11ème& 12ème arrondissements de Marseille chargé des Finances.

On nous annonçait un grand chantier constitutionnel et nous voilà avec un catalogue de bricolage. En effet, on trouve pêle-mêle et en désordre dans la proposition de réforme constitutionnelle : l’inscription de la spécificité Corse dans la Constitution, la suppression de la Cour de Justice de la République, la disparition des ex-présidents de la République du Conseil Constitutionnel, la transformation du Conseil Economique et Social et même l’impératif de la lutte contre le changement climatique. L’erreur serait de croire pourtant qu’il s’agit d’une réforme cosmétique et inoffensive alors qu’Emmanuel Macron entend revoir les grands équilibres de 1958. Il n’entend pas refaire la décoration intérieure au goût du jour mais est bien en train d’attaquer de fait les murs porteurs de la Vème République, au risque de faire écrouler l’ensemble.

 

Article dans son intégralité :
http://www.atlantico.fr/decryptage/reforme-institutions-monsieur-president-osez-referendum-3372628.html

 

Prélèvement à la source : Et les shadocks pompaient !

EXTRAIT
N’en déplaise à M. Darmanin, les temps humains et les coûts vont être augmentés tout au long de la chaîne des fonctions supports des employeurs dans des proportions que nul ne peut anticiper. Souvenez-vous du RSI !

Le report initial d’un an pouvait laisser espérer l’enterrement de cette mesure héritée du quinquennat Hollande. Maisle ministre des Comptes publics a confirmé l’entrée en vigueur du prélèvement à la sourcede l’impôt sur le revenu au 1erjanvier 2019. Le mouvement est lancé.

Cette réforme, exigée par l’Union européenne, part d’une bonne intention: prélever à la source permettrait de s’épargner des démarches déclaratives et un paiement tardif de son impôt. De plus, d’autres pays aux systèmes d’imposition beaucoup plus simples le pratiquent. Pourtant nous risquons d’aboutir au contraire de l’effet escompté.

 

Article dans son intégralité :
https://www.lopinion.fr/edition/politique/prelevement-a-source-shadocks-pompaient-148199

« La loi française doit primer sur le droit européen ! »

Découvrez la nouvelle tribune des parlementaires d’Oser la France avec leurs propositions pour la réforme de la Constitution.
Avec Julien Aubert Président d’Oser la France et député de Vaucluse, Stéphane Viry, député des Vosges ; Thibault BAZIN, député de Meurthe-et-Moselle ; Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes ; Jean-François Parigi, député de Seine-et-Marne ; Bernard Fournier, sénateur de la Loire.

EXTRAIT

FIGAROVOX/TRIBUNE – Les députés du collectif «Oser la France» signent une tribune pour redorer le blason du travail parlementaire aux yeux des Français. Ils proposent notamment d’extraire le Président de l’Assemblée des logiques partisanes, et d’assurer la primauté du droit français sur le droit communautaire.


Tribune signée par Julien Aubert, député de Vaucluse ; Thibault Bazin, député de Meurthe-et-Moselle ; Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes ; Jean-François Parigi, député de Seine-et-Marne ; Bernard Fournier, sénateur de la Loire ; Stéphane Viry, député des Vosges.


Le Président de la République, lors de son discours devant le Congrès, a répété combien il voulait moderniser notre vie démocratique par une réforme institutionnelle. Concernant l’Assemblée nationale, il veut réduire le nombre de députés, introduire une dose de proportionnelle dans le mode de scrutin et rendre plus efficace la procédure parlementaire.

 

Vous pouvez retrouver l’intégralité de la tribune sur :
http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/03/30/31001-20180330ARTFIG00251-la-loi-francaise-doit-primer-sur-le-droit-europeen.php

 

Fonction publique : déboulonner le statut du commandeur ?

Réforme du statut et de la SNCF, réforme de la fonction publique : Oser la France prend position ! Retrouvez cette tribune cosignée par Julien Aubert, président d’Oser la France et Jean-Philippe Mallé, ancien député PS et vice-président d’Oser la France, ainsi qu’un certain nombre d’élus OLF : Bérangère Poletti, Jean-François Parigi, Valerie Beauvais, Stéphane Viry, Thibault BAZIN, Alain Dufaut, René-Paul Savary, Bernard Carayon, Gabriel Melaïmi, Thierry Hory, Stéphane de Sallier Dupin, Olivier Arsac, Gurval Guiguen.
L’idée centrale est qu’il ne faut ni plonger dans la suppression tous azimuts du service public ou de la fonction publique, ni vouloir tout conserver : nous réaffirmons une 3ème voie, attachée à un service public et une fonction publique recentrée sur ce qui relève vraiment de la compétence de l’Etat.

 

EXTRAIT
” Voilà dix ans désormais que, malgré une focalisation quasi-obsessionnelle de la classe politique sur le nombre élevé de fonctionnaires, celui-ci reste stable en France, autour de 20 % de l’emploi total de notre pays. Curieux paradoxe qu’un pays qui pense la réforme de l’Etat uniquement par le prisme comptable et financier – au risque de démotiver les Français qui ont fait le choix de cet engagement – et qui, dans la pratique, ne fait absolument rien pour se réformer. Car tel est bien le sujet : que l’on parle du « big bang » de la fonction publique ou bien de l’avenir du secteur parapublic (SNCF), le vrai problème est de définir les contours de l’action de l’Etat et du service public dans une Europe qui promeut un cocktail privatisation-ouverture à la concurrence- réduction des dépenses publiques.

Ainsi, dans la réforme actuelle de la SNCF, la dette de l’entreprise est présentée comme l’élément qui doit conduire inéluctablement à la fin du statut des cheminots. Cet ultima ratio masque l’essentiel : les Français souhaitent surtout que les règles de départ à la retraite dérogatoires au droit commun propres au régime spécial de la SNCF soient normalisées, parce qu’elles ne sont plus forcément adaptées à la situation actuelle, les TGV modernes ne pouvant être comparés aux michelines du début du XXe siècle. “

 

Vous pouvez retrouver l’intégralité de la tribune sur :
https://www.lopinion.fr/edition/politique/fonction-publique-deboulonner-statut-commandeur-145856