Je l’évoquais il y a quelques semaines : nous avons le plaisir de vous annoncer le retour de nos Universités d’été, le grand évènement annuel qui rassemble les gaullistes et souverainistes de toute la France.
Nous ouvrons officiellement la billetterie dès aujourd’hui !
Je vous propose donc de nous retrouver le 28 septembre prochain à Avignon au Rouge Gorge, pour une nouvelle édition dédiée aux territoires perdus de la République autour de nombreuses personnalités, élus et experts qui apporteront leur regard et leur position sur les phénomènes de division et d’archipellisation qui travaillent actuellement notre pays.
Embrasement des banlieues, sentiment d’abandon de la France rurale, récentes tensions à Mayotte, en Nouvelle-Calédonie et en Corse, débats sur l’autonomie de certains territoires ultra-marins : le pays tout entier, du Nord au Sud, de la métropole aux Outre-mer, est en proie à une fracturation socio-territoriale.
Cette journée promet donc d’être riche en débats avec 4 tables rondes : La France du non-droit ; la France des ghettos ; La France périphérique et rurale et les territoires autonomisés.
Nous pouvons d’ores et déjà vous confirmer la présence de l’ancien ministre, Jean-Louis Borloo, le maire de Béziers, Robert Ménard, le Général Emmanuel de Richoufftz, la chroniqueuse Zohra Bitan, la journaliste et essayiste, Céline Pina, le chroniqueur et ancien député européen, Karim Zeribi, l’essayiste, Michel Aubouin, auteur d’une étude intitulée « Les étrangers extra-européens et le logement social en France », l’ancien député, François Pupponi, le constitutionnaliste, Benjamin Morel, les députés, Mansour Kamardine et Jean-Felix Acquaviva et bien d’autres que nous
Pour le président de notre mouvement, Julien Aubert Emmanuel Macron a sous-estimé l’instinct de survie et la liquéfaction de l’espace politique qu’il a lui-même engendrée en érigeant le débauchage et l’opportunisme en valeurs cardinales.
Un tribune à retrouver ci-dessous en libre accès dans l’Opinion.
Le Comité scientifique d’Oser la France est fier de publier le Livret bleu d’Oser la France pour une Confédération d’États européens – Souveraineté et Nations. À l’approche des élections européennes de 2024, Oser la France défend 14 propositions pour une Europe respectueuse des souverainetés.
Les propositions d’Oser la France s’articulent autour de lignes rouges affirmant la volonté de la France de préserver sa souveraineté et sa capacité à contrôler sa propre politique, en faisant notamment primer la Constitution de 1958 sur le droit européen.
Pour préserver la souveraineté des États membres et limiter le pouvoir de l’UE, Oser la France souhaite une Confédération européenne qui soit une Union d’États souverains. Est ainsi notamment proposée l’institution d’un droit de veto budgétaire, une revue de la composition du Parlement européen et un contrôle renforcé de l’application du principe de subsidiarité.
Le 8 novembre, notre président, Julien Aubert, était l’invité politique d’Oriane Mancini alors que le projet de loi immigration a entamé lundi 6 novembre son parcours législatif.
Retrouvez l’intégralité de cette interview ci-dessous :
Oser La France organisait il y a quelques jours une conférence autour de la politique énergétique française, un débat enrichissant animé par le président de notre mouvement, Julien Aubert.
Cette conférence organisée par Eric Roux, Référent national énergie de notre mouvement a réuni spécialistes et experts du nucléaire. Etaient présents : Yves Bréchet, ancien Commissaire à l’énergie atomique ; Vincent Le Biez, Adjoint au Délégué interministériel au nouveau nucléaire ; Jean-Luc Alexandre, PDG de Naarea; Loïk Le Floch-Prigent, ancien PDG d’ELF ; Bernard Fontana, PDG de Framatome ; Claude Imauven, Président d’Orano.
Alors que le contexte politique est depuis quelques mois redevenu favorable au développement de la filière, les intervenants ont mis en lumière plusieurs problématiques.
PRISE DE CONSCIENCE ET EVOLUTIONS DES POLITIQUES
Il a naturellement été rappelé que le soutien politique doit être cohérent, constant et continu, afin de soutenir le développement de la filière pour garantir au pays une énergie abondante, bon marché et souveraine, qui est l’une des prérequis à toute civilisation pérenne.
La commission d’enquête parlementaire visant à établir les raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France, présidée par Raphaël Schellenberger, a mis en évidence plusieurs manquements dans la gestion des évènements politiques.
Alors qu’une centrale nucléaire est construite actuellement en 12 à 15 ans, il est primordial que le personnel politique chargé de la conduite du pays prenne conscience du temps long et matérialise son appui, par exemple en rattachant le pilotage de la politique énergétique au ministère chargé de l’industrie, et en imposant des durées de vie de 30 à 50 ans pour les PPE (programmations pluriannuelles de l’énergie). Cela rassurera aussi les acteurs de la filière, rassemblés notamment au sein du Groupement des industriels français de l’énergie nucléaire (GIFEN), créé en 2018.
MUTATIONS INDUSTRIELLES
Du point de vue industriel, la filière doit se transformer – et elle le fait actuellement, notamment par une politique de standardisation modulaire, qui permettra de simplifier la construction d’une centrale tout en assurant la maîtrise de la production de ses composants.
L’industrie électronucléaire se diversifie également en investissant dans des services destinés à leurs clients et en renforçant la logistique lors de la construction d’un site de production d’électricité nucléaire.
La filière nucléaire doit enfin investir dans les nouvelles technologies, avec une politique volontariste qui se traduit aujourd’hui par France 2030 : la filière des neutrons rapides et le développement des petit réacteur modulaire (small modular reactor, SMR) sont des voies d’excellence dans laquelle le pays doit s’engager.
L’industrie électronucléaire contribue par la construction et l’exploitation des centrales de production d’électricité à la souveraineté du pays : cette industrie prend également en compte ses besoins à l’export, qui ont notamment conduit Framatome à participer à la construction des centrales étrangères d’Hinkley Point / HPC (Royaume-Uni), Taishan (République populaire de Chine) et Olkiluoto (Finlande) – l’ouverture de cette dernière a largement été saluée. Les industriels continuent sur cette lancée à se projeter sur de nouveaux marchés, notamment en Europe de l’Est avec la République tchèque.
Julien Aubert et toute l’équipe d’Oser La France était ravie de pouvoir réunir ses membres et Conseiller nationaux il y a une semaine à l’occasion du Conseil National du mouvement suivi d’un moment de débat et de réflexion autour de la politique culturelle Française.
Une journée de compagnonnage, de consolidation des combats d’Oser La France mais aussi de réflexion autour de nos valeurs.
Vous étiez nombreux, adhérents lyonnais mais aussi des quatre coins de la France, non membres d’Oser La France curieux à participer à cette journée inédite.
Le Président Julien Aubert l’a rappelé lors du discours de clôture : la culture, c’est essentiel. Nous ne parlons pas à OLF des sujets du moment : nous bâtissons les réponses de demain.
Ce Conseil national, en se penchant sur le sujet de la culture, n’a fait finalement que prolonger nos réflexions pour combattre, d’un côté, le macronisme passif, sans idéologie ni culture, et de l’autre, la gauche radicale qui déconstruit.
Peu de partis politiques se sont risqués à modifier les grands axes des politiques culturelles des responsables politiques qui se sont succédés et peu de partis mettent à leur agenda politique ce thème.
Il y a pourtant tant à dire et à faire face à un monde de la culture semble parfois tourner sur lui-même, dominé par des idéologies plutôt progressistes et libertaires, biberonné aux subventions publiques.
En invitant lors de ce Conseil national des acteurs du monde culturel pas spécifiquement classés à Gauche, Julien Aubert espère que le mouvement aura progressé sur ce problème de perception.