Julien Aubert et toute l’équipe d’Oser La France était ravie de pouvoir réunir ses membres et Conseiller nationaux il y a une semaine à l’occasion du Conseil National du mouvement suivi d’un moment de débat et de réflexion autour de la politique culturelle Française.
Une journée de compagnonnage, de consolidation des combats d’Oser La France mais aussi de réflexion autour de nos valeurs.
Vous étiez nombreux, adhérents lyonnais mais aussi des quatre coins de la France, non membres d’Oser La France curieux à participer à cette journée inédite.
Le Président Julien Aubert l’a rappelé lors du discours de clôture : la culture, c’est essentiel. Nous ne parlons pas à OLF des sujets du moment : nous bâtissons les réponses de demain.
Ce Conseil national, en se penchant sur le sujet de la culture, n’a fait finalement que prolonger nos réflexions pour combattre, d’un côté, le macronisme passif, sans idéologie ni culture, et de l’autre, la gauche radicale qui déconstruit.
Peu de partis politiques se sont risqués à modifier les grands axes des politiques culturelles des responsables politiques qui se sont succédés et peu de partis mettent à leur agenda politique ce thème.
Il y a pourtant tant à dire et à faire face à un monde de la culture semble parfois tourner sur lui-même, dominé par des idéologies plutôt progressistes et libertaires, biberonné aux subventions publiques.
En invitant lors de ce Conseil national des acteurs du monde culturel pas spécifiquement classés à Gauche, Julien Aubert espère que le mouvement aura progressé sur ce problème de perception.
Mars promet d’être le mois de tous les dangers pour le pouvoir d’achat des Français : les prix des aliments devraient augmenter de 12 à 14%, et l’inflation pour ces produits atteindre 15% en juin.
En effet, le troisième mois signe la fin des négociations annuelles entre les fournisseurs et les distributeurs. La négociation entre industriels et distributeurs de l’agro-alimentaire a toujours été très tendue, avec une pression forte des distributeurs à la baisse des prix, baisse qui se répercute évidemment jusqu’à l’agriculteur. 2023 va amplifier les choses avec des fournisseurs de produits alimentaires confrontés à la flambée des matières premières.
Ne nous contentons pas de rustines : le débat sur la souveraineté alimentaire doit être ouvert, avant qu’après « une France sans usine » nous héritions d’une « France sans paysans » incapable de nourrir à coût raisonnable sa population.
A travers cette pétition nous formulons des demandes urgentes au gouvernement pour sauvegarder notre souveraineté alimentaire, un impératif pour pouvoir faire face au tsunami de ce printemps.
Des décennies de politiques culturelles ont vu des dizaines de ministres de la Culture se succéder, les budgets continuellement augmenter. Pourtant, jamais les Français se sont autant interrogés sur le devenir de leur culture et de leur patrimoine notamment dans les débats qui agitent les formations politiques de droite.
Paradoxalement, aucune de ces familles politiques n’a pris le sujet à bras-le-corps.Pourquoi ?A l’heure où nos anciens ministres de la culture souhaitent organiser le remplacement de nos églises, où l’éducation de nos enfants repose sur TikTok et les théories Wokistes, où célébrer Napoléon donne encore lieu à des polémiques, l’équipe d’Oser la France est heureuse de vous inviter à participer à sa journée débat autour de la politique culturelle de la France à l’occasion de son Conseil national :
Elle se tiendra :
leSAMEDI 18 mars 2023 à 9:30 à l’Escale Lyonnaise 100, RUE DE CRÉQUI 69006 LYON
En présence de Julien Aubert, Président d’Oser la France et ancien Député de Vaucluse ainsi que de nombreux parlementaires et élus du mouvement.
OSER LA FRANCE PUBLIE SA DÉCLARATION DECOMPATIBILITÉAVEC LES CANDIDATS DE LA DROITE À LA PRÉSIDENTIELLE
Oser la France a pris une décision sur son positionnement à l’approche du Congrès du 4 décembre prochain qui désignera le futur candidat de la droite à l’élection présidentielle.
Après consultation de ses adhérents, des membres du Bureau national et du Conseil national, Oser la France conserve sa neutralité dans cette pré-campagne présidentielle et n’apporte pas de soutien formel à un candidat.
Les 5 candidats au congrès organisé par Les Républicains ont été auditionnés et ont adressé leurs contributions écrites indiquant leur regard sur le projet politique d’Oser la France.
Un panel constitué de 15 membres cadres d’Oser la France a évalué les réponses des candidats sollicités en leur attribuant une note de 0 à 5 sur chacune des thématiques et les résultats de ce panel ont été présentés aux conseillers nationaux du Mouvement.
Par ailleurs, les 221 conseillers nationaux ainsi que l’ensemble des adhérents ont été consultés sur l’opportunité d’un soutien à un candidat ainsi que sur la proximité de notre Mouvement avec chacun des candidats.
En l’absence de consensus clair sur le choix d’un candidat, le Bureau national a décidé le 15 novembre qu’Oser la France conservait son indépendance qui constitue l’ADN du Mouvement. Pour rappel, Oser la France est né le 22 novembre 2017 et est constitué pour moitié d’adhérents LR. Oser la France revendique son caractère indépendant de toute structure partisane et la diversité politique de ses membres.
Toutefois, dans un souci de transparence, Oser la France a décidé de rendre publique les résultats du panel de notation des contributions écrites des candidats et ainsi de porter à la connaissance de tous de façon étayée les résultats de compatibilité obtenus.
Les résultats de ce panel indiquent la répartition de compatibilité des candidats suivante (du plus compatible au moins compatible au projet d’Oser la France) : Eric Ciotti, Xavier Bertrand, Valérie Pécresse, Michel Barnier et Philippe Juvin.
Oser la France se félicite que l’ensemble des candidats au Congrès LR aient adressé leur contribution écrite sur le « 15 de France » et souhaite que le candidat vainqueur reprenne à son compte ces mesures de redressement national dans un programme présidentiel.
Le Comité scientifique d’Oser la France est fier de publier le “15 de France” – Pacte législatif d’Oser la France 2022. Par ce livret, Oser la France fait le choix de mettre sur la table quinze propositions décisives, des orientations qui doivent être la colonne vertébrale du sursaut et du redressement de la France.
Ces 15 propositions portent en particulier : sur l’école, l’immigration, la souveraineté, l’identité, la politique familiale, la démocratie, le travail, l’énergie, le développement, l’aménagement du territoire, la réindustrialisation, la santé, la Défense, la justice sociale et le numérique.
Ce matin, le Journal du Dimanche titre sur le fait que Jean Castex accepte la main tendue de Renaud Muselier et retire la liste LREM en Paca, en précisant que la tête de liste, Madame Cluzel, et des députés seront présents sur la liste.
Le chef du gouvernement a ajouté : “Cette union va bien au-delà d’accords d’appareils, c’est un exemple de la recomposition politique.”
Ces propos sont lourds de conséquences.
Mardi prochain, Renaud Muselier viendra présenter en comité stratégique des LR -dont je fais partie – sa position, puis la CNI tranchera. Je souhaite une clarification définitive.
J’ai expliqué depuis plusieurs mois qu’il était indispensable que LR soit très clair avec LREM, bien avant les municipales, et que cette ambiguïté nous fragiliserait pour les cantonales et les régionales. Nous y sommes.
Si cet accord devait être acté, il signerait la fin des Républicains comme parti d’opposition à Macron. Il ne serait pas seulement un accord à portée régionale mais bien une expérience à portée nationale. Je fais partie de ceux qui ne veulent pas d’une réélection de Macron en 2022 mais qui estiment que Marine Le Pen n’est pas la solution.
Je serai donc attentif à la réponse de Renaud Muselier à cette demande d’OPA, et si elle devait se concrétiser, ne partirai pas comme tête de liste régionale en Vaucluse, sans solliciter d’autre mandat. Les électeurs en ont assez d’élus qui défendent leur fauteuil plutôt que leurs idées.
Je conserverai alors mon seul mandat de député, et c’est bien le peuple et lui seul qui jugera en 2022 de me l’enlever ou non.