« La loi française doit primer sur le droit européen ! »

Découvrez la nouvelle tribune des parlementaires d’Oser la France avec leurs propositions pour la réforme de la Constitution.
Avec Julien Aubert Président d’Oser la France et député de Vaucluse, Stéphane Viry, député des Vosges ; Thibault BAZIN, député de Meurthe-et-Moselle ; Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes ; Jean-François Parigi, député de Seine-et-Marne ; Bernard Fournier, sénateur de la Loire.

EXTRAIT

FIGAROVOX/TRIBUNE – Les députés du collectif «Oser la France» signent une tribune pour redorer le blason du travail parlementaire aux yeux des Français. Ils proposent notamment d’extraire le Président de l’Assemblée des logiques partisanes, et d’assurer la primauté du droit français sur le droit communautaire.


Tribune signée par Julien Aubert, député de Vaucluse ; Thibault Bazin, député de Meurthe-et-Moselle ; Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes ; Jean-François Parigi, député de Seine-et-Marne ; Bernard Fournier, sénateur de la Loire ; Stéphane Viry, député des Vosges.


Le Président de la République, lors de son discours devant le Congrès, a répété combien il voulait moderniser notre vie démocratique par une réforme institutionnelle. Concernant l’Assemblée nationale, il veut réduire le nombre de députés, introduire une dose de proportionnelle dans le mode de scrutin et rendre plus efficace la procédure parlementaire.

 

Vous pouvez retrouver l’intégralité de la tribune sur :
http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/03/30/31001-20180330ARTFIG00251-la-loi-francaise-doit-primer-sur-le-droit-europeen.php

 

Fonction publique : déboulonner le statut du commandeur ?

Réforme du statut et de la SNCF, réforme de la fonction publique : Oser la France prend position ! Retrouvez cette tribune cosignée par Julien Aubert, président d’Oser la France et Jean-Philippe Mallé, ancien député PS et vice-président d’Oser la France, ainsi qu’un certain nombre d’élus OLF : Bérangère Poletti, Jean-François Parigi, Valerie Beauvais, Stéphane Viry, Thibault BAZIN, Alain Dufaut, René-Paul Savary, Bernard Carayon, Gabriel Melaïmi, Thierry Hory, Stéphane de Sallier Dupin, Olivier Arsac, Gurval Guiguen.
L’idée centrale est qu’il ne faut ni plonger dans la suppression tous azimuts du service public ou de la fonction publique, ni vouloir tout conserver : nous réaffirmons une 3ème voie, attachée à un service public et une fonction publique recentrée sur ce qui relève vraiment de la compétence de l’Etat.

 

EXTRAIT
” Voilà dix ans désormais que, malgré une focalisation quasi-obsessionnelle de la classe politique sur le nombre élevé de fonctionnaires, celui-ci reste stable en France, autour de 20 % de l’emploi total de notre pays. Curieux paradoxe qu’un pays qui pense la réforme de l’Etat uniquement par le prisme comptable et financier – au risque de démotiver les Français qui ont fait le choix de cet engagement – et qui, dans la pratique, ne fait absolument rien pour se réformer. Car tel est bien le sujet : que l’on parle du « big bang » de la fonction publique ou bien de l’avenir du secteur parapublic (SNCF), le vrai problème est de définir les contours de l’action de l’Etat et du service public dans une Europe qui promeut un cocktail privatisation-ouverture à la concurrence- réduction des dépenses publiques.

Ainsi, dans la réforme actuelle de la SNCF, la dette de l’entreprise est présentée comme l’élément qui doit conduire inéluctablement à la fin du statut des cheminots. Cet ultima ratio masque l’essentiel : les Français souhaitent surtout que les règles de départ à la retraite dérogatoires au droit commun propres au régime spécial de la SNCF soient normalisées, parce qu’elles ne sont plus forcément adaptées à la situation actuelle, les TGV modernes ne pouvant être comparés aux michelines du début du XXe siècle. “

 

Vous pouvez retrouver l’intégralité de la tribune sur :
https://www.lopinion.fr/edition/politique/fonction-publique-deboulonner-statut-commandeur-145856

Une nouvelle visibilité pour les sensibilités idéologiques des Républicains

Le président du parti Les Républicains va installer, mercredi 28 mars 2018, un « conseil » destiné à souligner la diversité idéologique du parti en réunissant gaullistes, libéraux, démocrates-chrétiens et radicaux.

 

EXTRAIT
Gaullistes, libéraux, démocrates-chrétiens et radicaux

C’est pourquoi Laurent Wauquiez a décidé d’installer un « conseil des sensibilités », non statutaire, afin de signifier que LR a encore vocation à réunir toutes les droites idéologiques.

La mouvance gaulliste sera représentée par Julien Aubert (club « Oser la France »), Daniel Fasquelle (club « Les gaullistes sociaux »), Charles Guené, sénateur de la Haute-Marne et successeur de Gérard Larcher à la tête de l’Amicale gaulliste du Sénat, ainsi que par le député François Cornut-Gentille, par ailleurs chargé par Laurent Wauquiez d’une mission sur les évolutions institutionnelles. Tous les quatre sont d’anciens membres du RPR.

Les libéraux seront représentés par l’ex-juppéiste Virginie Calmels (club « DroiteLib’»), la députée copéiste Michèle Tabarot et Dominique Dord. Les deux derniers sont d’anciens membres du parti Démocratie libérale d’Alain Madelin.”

 

Vous pouvez retrouver l’intégralité de la tribune sur :
https://www.la-croix.com/France/Politique/nouvelle-visibilite-sensibilites-ideologiques-Republicains-2018-03-28-1200927367

 

A-t-on encore le droit de critiquer Jean-Michel Blanquer ?

France», reprochent au ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer de ne pas avoir de réelle ligne directrice pour l’école, malgré des réformes dont certaines vont dans le bon sens. Eux plaident pour un retour à une «école de la transmission».


Bérengère Poletti, députée des Ardennes ; Julien Aubert, député de Vaucluse ; Stéphane Viry, député des Vosges ; Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes ; Thibault Bazin, député de Meurthe-et-Moselle ; Jean-François Parigi, député de Seine-et-Marne ; René-Paul Savary, sénateur de la Marne ; Alain Dufaut, sénateur de Vaucluse ; Anne Lorne, Conseillère régionale de Rhône-Alpes-Auvergne ; Stéphane de Sallier Dupin, conseiller régional de Bretagne ; Alexandre Rassaërt, maire de Gisors et conseiller départemental de l’Eure ; Pierre Laget, adjoint au maire des 11ème & 12ème arrondissements de Marseille chargé des Finances.


Depuis le début du nouveau quinquennat, la droite française s’exempte d’exercer son esprit critique vis-à-vis de l’action de Jean-Michel Blanquer, Ministre de l’Education nationale. Sans doute est-ce parce qu’il nous rappelle trop ce que nous n’avons pas fait, miroir vivant de nos renoncements, mais aussi parce qu’il nous flatte en réfutant l’orthographe inclusive ou la méthode semi-globale, en voulant interdire le téléphone portable au collège, en évoquant la sélection à l’entrée de l’université, en mettant en valeur les fondamentaux de l’instruction – le fameux triptyque lire-écrire-compter, et surtout en donnant le sentiment de prendre le pas sur les «pédagos» de la rue de Grenelle et leur vocabulaire abscons.

 

Vous pouvez retrouver l’intégralité de l’article :
http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/03/01/31001-20180301ARTFIG00283-a-t-on-encore-le-droit-de-critiquer-jean-michel-blanquer.php

Comment la France peut faire renaître ses villes

Tribune. Il est temps de prendre à bras le corps le sujet de la désertification rampante, expliquent les députés Julien Aubert et Jean-François Parigi.

Un spectre hante nos villes, le spectre de la désertification : alors que Paris perd des habitants, 14 000 en cinq ans, sous l’effet conjugué de la baisse des naissances qui touche la France, des prix fous de l’immobilier et du phénomène AirBnB qui transforme des quartiers entiers en zone hôtelière, nos villes moyennes sont en train carrément de mettre la clé sous la porte. D’après un rapport de l’inspection des Finances, le taux moyen de vacance commerciale, soit le pourcentage de commerces fermés, était passé de 6,1% à 10,4% en 2015. Le gouvernement a lancé un plan « Action cœur de ville », que le Sénat a choisi d’accompagner intelligemment avec un groupe de travail ad hoc. La métropole du Grand Paris souhaite plancher aussi sur le sujet, ce qui montre que le problème est d’envergure nationale, mais ce sont les villes moyennes, de 10 à 100 000 habitants qui sont les plus touchées, ces villes qui sont aux collectivités locales ce que sont les classes moyennes à la population française : les éternelles oubliées des politiques publiques. Nombre d’entre elles voient leur cœur cesser de battre petit à petit, tandis que le « désert français » avance en grignotant les derniers oasis d’activité, ruinant le principe même d’aménagement du territoire.

 

Vous pouvez retrouver l’article sur :
http://www.valeursactuelles.com/politique/tribune-comment-la-france-peut-faire-renaitre-ses-villes-93392